Bordée par la mer Rouge à l'est et les montagnes du Sinaï à l'ouest, Taba offre à ses touristes de superbes plages de sable blanc, des eaux cristallines propices à la plongée et au kytesurf, dans un climat chaud et ensoleillé toute l'année.
Depuis le Mosaïque Beach Resort 5*, explorez la région, avec des attractions touristiques à proximité, notamment le parc national de Ras Mohammed, la ville de Sainte-Catherine et le mont Sinaï.
L'hôtel dispose également d'une grande piscine extérieure, d'un spa proposant des massages et des soins de beauté, d'une salle de sport, d'un court de tennis, d'un terrain de volley-ball de plage et d'un club pour enfants. Les clients peuvent également profiter de la plage privée de l'hôtel, qui est équipée de chaises longues et de parasols.
L’essentiel de l’eau utilisée en Égypte vient du Nil et sa qualité est sérieusement menacée par les déchets industriels et agricoles non traités et par les eaux résiduelles. En outre, le barrage d´Assouan a réduit le débit du fleuve et en retient les sédiments nutritifs, qui autrefois fertilisaient les terres arabes du pays. De plus, aucun système n’est prévu pour la gestion des déchets : Louxor et Assouan sont considérées comme grandes villes mais aucune usine d’incinération ni de centres de tri ou de recyclage des déchets. Les ordures sont abandonnées dans la rue, sur les chemins, au bord ou dans le Nil. On notera, au passage, qu’une large part de la pollution atmosphérique provient de l’incinération à ciel ouvert de certains de ces déchets
La chute vertigineuse de la fréquentation touristique (suite aux problèmes géopolitiques et sanitaire) prive le pays des ressources nécessaires à la conservation des antiquités. De la pyramide de Gizeh – la seule des sept merveilles du monde encore visible aujourd’hui – aux temples de la Haute-Égypte en passant par les églises et édifices islamiques, le patrimoine égyptien nécessite des efforts de préservation permanents.
Cet enjeu se rencontre notamment le long de la Mer Rouge, au niveau de Marsa Alam et de Wadi el Gemal. Cette Zone protégée (WGPA) a été créée en 2003 en tant que très grand protectorat marin et terrestre dans la mer Rouge sud, situé à 325 km au sud de Hurghada. Toutefois, le parc n’est pas développé pour l’écotourisme jusqu’à présent. De plus, les Ababda, peuples autochtones de Marsa Alam, ont souffert de la protection de cette zone en perdant un accès à leurs ressources naturelles, telles que certaines plages de pêche et de zones de leurs terres, ceuqi a été accentué par le tourisme. De nombreux projets «de développement communautaire» financés par des donateurs sont conçus sans aucune consultation ni participation de la communauté locale et sans répondre à leurs besoins réels.
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